Omoo, récits des mers du Sud, Version intégrale, Herman Melville

cover Titre : Omoo, récits des mers du Sud, Version intégrale, Herman Melville
Auteur : Herman Melville
Pays : États-Unis
Langue du livre : Français
Catégorie : Roman
Genre : Action et aventure
Version : Version intégrale
Traduit par : Jacqueline Foulque
Langue originale : Anglais
Date de parution : 1951

Résumé :

Omoo est la suite directe de Taïpi. C'est le second roman d’Herman Melville, écrit à 25 ans. Il relate une expérience personnelle.

Après avoir échappé aux Taïpis, le narrateur se retrouve à bord de la Julia, un baleinier australien commandé par le capitaine Guy, reclus dans sa cabine par la maladie. Après une campagne de pêche décevante et la santé du capitaine s'aggravant, le second, John Jermin met le cap sur Tahiti. Ne pouvant débarquer, l'équipage rédige une pétition transmise à l'autorité britannique. En réponse, le consul Wilson ordonne aux matelots de se préparer à une nouvelle campagne de trois mois. L'indiscipline augmentant, les fortes têtes sont débarquées et enfermées dans la « Calabouza biritani », une prison qui ne les reçoit que la nuit! Après trois semaines de relâche, la Julia lève l'ancre avec un nouvel équipage et les mutins sont invités à aller se faire pendre ailleurs.

Le narrateur, avec son camarade Long-Spectre, en bons batteurs de plages, vagabondent à Tahiti puis ils se font engager comme ouvriers agricoles dans l'île voisine d'Eiméo. La culture des pommes de terre ne les passionnant pas, ils reprennent leur vagabondage et profitent de tous les charmes de la vie insulaire.

Lassé de toutes ces pérégrinations, le narrateur s'engage pour une nouvelle campagne de pêche sur un baleinier américain, le Léviathan.

Comme pour « Typee », Melville a transposé dans ce second roman un épisode de sa vie de marin. Quittant les îles de la Société, il s'était embarqué sur un baleinier, mais à destination des îles Hawaii. Aux derniers mots du roman, le souvenir vécu et la fiction se superposent : « vers midi, l'île verte avait disparu à l'horizon, et partout devant nous s'étendait le vaste océan Pacifique ».